Romane Cerf
…est née en 1996 et a grandi dans les campagnes jurassiennes. Désormais citoyenne adoptive de Neuchâtel et diplômée en lettres, elle s’épanouit dans l’enseignement de cours de français langue étrangère. En parallèle, elle laisse voguer sa plume au gré des courants chauds brassés par La Chose Carrée. Amoureuse des mots, elle aime les faire danser en rond, ou en carré.
Vânia Gonçalves (rédactrice de 2020 à 2023)
…est née un jour de printemps, dans la péninsule ibérique, au milieu des années 80. Dès son adolescence, elle se passionne pour l’écriture et noircit des cahiers entiers de poèmes. L’urgence des choses à dire l’emmène vers la recherche d’une fenêtre d’expression libre et locale, qu’elle va finalement trouver au sein de La Chose Carrée. En parallèle de son job dans la communication, elle explore la composition et l’interprétation pianistique et est maman d’un jeune garçon. La transmission lui tient particulièrement à cœur, c’est d’ailleurs ce qui l’anime dans les textes qu’elle a confié à La Chose Carrée : laisser une trace, rassembler et questionner l’absurdité de ce monde.
Mathias Jaquenod
Né, au bord du lac de Neuchâtel, le jour de la finale du Mondial 1994 ayant vu le Brésil s’imposer aux tirs aux buts face à l’Italie, est libraire et gère le rayon sciences humaines chez Payot Neuchâtel. Son goût pour la lecture a vu le jour tardivement et celui pour l’écriture l’a été d’autant plus. Ce qui ne l’empêche pas de lire – dévorer – une grosse quantité de livres et d’écrire des poèmes à la pelle. Les poètes étant source d’inspiration sont : Charles Bukowski, Cécile Coulon, Raymond Carver, Sébastien Ayreault et Richard Brautigan. C’est sous cette influence qu’il écrit des poèmes caustiques et ironiques s’inspirant du quotidien au sein de La Chose Carrée.
Hélène Lavoyer
…est étudiante en Migration et citoyenneté à l’Université de Neuchâtel. Journaliste en herbe dès 2017, elle fait une rencontre décisive deux ans plus tard et quitte la rédaction afin de créer La Chose Carrée. Aujourd’hui, ce projet littéraire et artistique lui permet de parler de sa propre vie, dans laquelle la spiritualité, le corps ainsi qu’une curiosité pour la vie et sa manière infiniment diversifiée de s’exprimer, sont centrales. Intéressée par la rencontre humaine et l’échange sincère avant tout, elle rassemble ses fragments et s’éclate à nouveau selon les cycles, sur le terrain comme sur le papier.
Jorris Sermet
Élevé entre Platon et Dark Vador, Jorris est aussi chevelu qu’un mouton. Il aime l’humour, la bière et les débats sans fin. Adepte des concerts en tout genre, lecteur assidu de fantaisie et de science-fiction, joueur invétéré, il tente désespérément de comprendre le monde qui l’entoure. Écrire des choses, dire des trucs, et explorer l’univers sont autant de manières pour lui de poser des mots sur sa pensée. Grâce à La Chose Carrée, il dispose enfin d’un espace cadré pour mieux s’inscrire dans un mouvement littéraire. Et ça, c’est top.
Virgile Morales
Né en 1996 à Neuchâtel mais toujours le cœur très attaché à ses origines madrilènes. Actuellement dans le monde syndical, Virgile découvre la littérature hors de l’école et par simple curiosité. Les premiers auteurs qui lui ont donné la sensation que lui aussi avait le droit d’écrire sont Romain Gary, Charles Bukowski et Louis Calaferte. C’est la première fois grâce à La Chose Carrée qu’il peut s’exprimer dans un cadre bien libre.
Alexandre Wälti
Mi-romand mi-alémanique, Alexandre grandit entre les frontières linguistiques de Suisse. Né à Neuchâtel, il est dévoré par la littérature et sa capacité de remise en question du monde depuis la lecture de « La Chute » d’Albert Camus. L’écriture devient vitale à l’adolescence, comme un second souffle, parfois même de manière presque maladive. Passion qui se renforce après une traversée de l’Amérique latine et à la suite d’un voyage en Scandinavie. Actuellement journaliste au Journal du Jura, il tombe dans les mots comme Obélix dans la potion magique au Lycée. Une plongée dans le verbe où il nage encore quotidiennement avec intensité. C’est pourquoi il gribouille de la poésie et de la prose dans La Chose Carrée.
Lina Bouzelboudjen
Doctorante en littérature hispanique, les mots de Borges viennent ponctuer ses textes et ses pensées quotidiennes. Anecdotiquement et pourtant si important pour elle, elle est passionnée de musique et ne peut pas manquer sa promenade de fin d’après-midi ponctuée par des chansons qui poétisent son chemin. Lettres, virgules, rythmes et personnalités : La Chose Carrée est pour elle un espace où chacun.e est libre de créer, d’exprimer un sentiment ou une inquiétude, et chaque essence est reçue, lue et appréciée comme un art singulier et précieux.
Amanda Spierings
Les livres ont toujours fait partie de la vie d’Amanda. Elle a appris à lire pour pouvoir dévorer les histoires sans entraves, et elle écrit de la poésie depuis son enfance pour tenter d’apprivoiser le monde. Après une thèse en philosophie sur la notion de fiction, elle est désormais rédactrice, traductrice et relectrice indépendante. Maman de trois jeunes enfants, ce sont eux qui l’ont remise sur le chemin de l’écriture et de l’essentiel. Ecrire, c’est abolir la frontière entre la poésie et la vie. Autour des mots, de rencontres en rencontres, elle a découvert l’univers de liberté, de créativité et d’épanouissement qu’est La Chose Carrée. Bien entourée, sa poésie y fleurit de plus belle.