Francis Cabrel

  • La tête sur terre, les pieds dans les étoiles

    “Elle n’a qu’à ouvrir l’espace de ses bras pour tout reconstruire” chantait déjà Cabrel. Il ne l’a pas cherchée sur Mars, que je sache. L’espace ressasse a priori les contours du vide, de l’immensément grand. Les extrémités infinies qui semblent le délimiter, tant et pourtant qu’il n’en a de tangibles, éloignent encore un peu plus l’esprit de l’ébauche rassurante d’une…

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J’ai retrouvé sans peine l’endroit de nos haltes, tant il demeure inscrit au plus profond de ma mémoire. Je crois que je pourrais fermer les yeux et, sans même tâtonner, m’y diriger tout droit.

Raphaël Aubert, Sous les arbres et au bord du fleuve & autres récits. 2021.

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